en petit salut au passage à Charles Bukowski
Ho oui on sourit,on grimace aussi durant ce film,on intégre, on se fond dans la peau de HANK CHINASKI . J’étais parti voir ce film sans idée préconçue, sans en avoir lu la moindre critique, juste je savais qu’il avait reçu une standing ovation à l’issue de sa projection à Cannes..et encore je n’en étais pas sur..(me sembler avoir lu..)…..
Et bien l’ovation je la revendique pour l‘acteur Matt Dillon, pour celle qui escorte Chinanski une bonne partie du film Lili Taylor epoustouflante de fragilité apparente ( prix de la meilleure actrice lors du Festival international du film de Copenhague pour Factotum en 2005 ) et bien sur le réalisateur Bent Hamer, metteur en scène norvègien .
Voilou encore un film qui pour moi compte…mais j’avoue un faible tout particulier pour l’univers Bukowski , d’abord fidèle lecteur et peut-etre une certaine attirance pour la marge…des cahiers..oui vous avez tout compris..les cahiers du cinéma bien sur.Lol