J’ai voté pour …allez savoir pourquoi..!

AVANT PREMIERE LUNDI 14 JUIN A 20H30
Seance suivie d’un debat en presence du réalisateur et comédien
MATHIEU AMALRIC


En attendant

Very Amazing ! Ce film me file déjà la pêche et le sourire..Des filles et Amalric !
Que demander de plus.. « Un Prix du Scénario « ..Bien vu !

Mouvement de Grêve aux Irreductibles

Dernière Minute ! IFP ( Irreductibles Flemme Presse )
Reprise des Activitées
( mais cool okay !!! )
Ceci Suite à l’abondant courrier reçu, nous croulons sous les lettres de remerciements, d’injures, les tickets restaurants(merci…), les lettres d’amour, d’autres de dénonciations ( trés à la mode )..
Bref n’en jetez plus !

A paraitre sous peu vu ce week-end,

« Surveillance » de Jennifer Chambers Lynch
et les deux « opus » de Waine Wang
« Un Millier D’Années De Bonnes Prières »
vu ce jour et le second volet formant ce dyptique
« La Princesse Du Nebraska « .(à voir sous peu .)
A très bientot donc…
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Greve ..et c’est même pas la rentrée ,Kilucru !
Profitant d’un instant de faiblesse physique du rédacteur, le personnel
s’est lachement octroyé, un, des congés, deux encore des congés…
Par contre sur une éventuelle augmentation, la direction sera intraitable..peut-être un petit 50%..ce qui sur zéro équivaut à..
Bref sachez le, pour œuvrer aux Irreductibles, il faut de la passion, de l’amour, du courage, de la ténacité…et tout un tas ce conneries diverses dont certains adeptes du travail, famille..etc nous frottent les oreilles…
Allez de mon errance aoutienne je trouverai bien moyen de passer un petit post, jeter un oeil voir si déjà mon retour est réclamé à grand cri !
En attendant pour soutenir les grévistes, commentaires, encouragements, photos sous les palmiers (avec un minimum de décence..s’entend !)
A trés bientot, je vais peut-etre tester d’autres salles, loin de chez moi dans cette nature hostile et sauvage…lol !

LES CERFS-VOLANTS DE KABOUL – De Marc Forster

LES CERFS-VOLANTS DE KABOUL
Un film de Marc Forster

avec Shaun Toub, Saïd Taghmaoui et Khalid Abdalla
Titre original : KITE RUNNER (Etats-Unis)
Adaptation du best-seller de Khaled Hosseini sorti en 2003

Synopsis

Dans un pays déchiré qui s’apprête à entrer en guerre, Amir et Hassan, deux enfants amis depuis toujours, vont bientôt être séparés …

1979. Cet après-midi-là, à Kaboul, la ville tout entière est à la fête car ses habitants vivent au rythme du traditionnel concours de cerfs-volants. Malgré la victoire d’Amir et Hassan, l’amitié des deux garçons ne résiste pas à la trahison de l’un envers l’autre. Lorsque les Soviétiques envahissent l’Afghanistan, Amir et son père quittent le pays pour les Etats-Unis.

Vingt ans plus tard, Amir revient à Kaboul, désormais sous la chape de plomb du régime des Talibans. Sans se soucier du danger, il affronte enfin le secret qui le hante depuis son enfance dans l’espoir de se racheter…

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Les cerfs-volants de Kaboul, je n’ai pas lu le roman à l’origine du film. Je pourrais voir cela comme une carte postale d’Afghanistan et plus particulièrement Kaboul. Ceci avant les bouleversements que connaitra ce pays, de traumatismes ici il en sera question. Alors que la cité baigne encore dans la couleur et l’insouciance, que résonnent les cris des enfants occupés par le traditionnel combat de cerfs-volants Amir et Hassan vont bientôt être confrontés à la lâcheté de l’un, à la honte de l’autre.
Deux blessures différentes, de celles qui ne s’oublient pas et des années plus tard Amir reviendra sur ses pas, répondant à un appel, celui qu’il n’avait pu entendre, comprendre, accepter il y a des années.
Oui, il y a une nostalgie de l’enfance, le cerf-volant en est représentatif comme l invite à l’évasion, à l’envol. C’est une histoire d’amitié entre deux gamins, une amitié trahie par la peur et puis bien plus tard d’un romanesque récit de rachat, de rédemption.
En fond Kaboul aux couleurs et aux cris de joie, succéderont des années plus tard la désolation, le gris des murs éventrés et les visages masqués d’une burka ou d’une barbe intégriste.
Mais ce film est surtout une histoire d’enfants, de gamins et là réside peut-être l’espoir !
A la poursuite du cerf-volant, le nez pointé vers le ciel, les nuages, l’esprit tourné vers les étoiles..Quelques instants d’oubli peut-être !
Excessif.Com « ..La volonté première du film est donc de nous faire découvrir un autre visage de l’Afghanistan .. »
CommeAuCinema.Com« ..Film d’enfance touchant et dépaysant.. »

Radiohead – In rainbows

     Salut à tous. Bien étrange façon de commencer un article relatif à un album, puisqu’aucune pochette n’est a priori disponible. En effet, le nouveau Radiohead n’est pour l’instant disponible qu’au téléchargement sur internet (le CD viendra plus tard) au format MP3. Alors voici la seule image que je puisse mettre pour illustrer mon propos :

Radiohead

     Si nous parlions de musique ? Je ne vais pas m’attarder sur le côté « communication » du fait de sortir un CD sans passer par une maison de disque, en le distribuant sur internet etc. Quoique. La seule chose que j’aie à regretter là-dessus, c’est que le son est au format MP3 à 160 kbp/s. Autant dire que c’est regrettable, d’autant plus qu’il existe toute une panoplie de codecs libres bien meilleurs. Mieux, un codec sans perte m’aurait ravi. M’enfin bon j’ai pas eu le choix…

     Question musique, c’est vraiment sympa. Ça fait pas très « pro » dit comme ça ; mais je ne suis pas pro. Je n’ai d’ailleurs pas une grande connaissance du groupe, à part le fameux « OK Computer » et « The bends ».

     Le nouveau Radiohead sonne moins « rock » à mes oreilles que les autres albums. Par exemple, le premier morceau, 15 Steps, tend plutôt vers l’électro. Pour un rocker 100% pur jus, ce n’est sans doute pas ce qu’il va écouter tous les jours…

     Ce que je retiens tout de même, ce sont des morceaux vraiment prenants. Citons d’abord le magnifique Reckoner. D’abord, le rythme est donné, la mélodie se lance, et la voix de Thom Yorke aiguë, mais douce, arrive. Avec par moments deux voix en même temps, l’ensemble est calme tout en étant entraînant, et bien structuré. Des morceaux comme je les aime, qui savent prendre un tournant différent, avec une sorte d’interlude médian, pour mieux repartir dans la mélodie de départ. On en redemande. Pour l’instant la piste qui a ma préférence.

     Il ne faut pas non plus oublier des titres comme Nude. Un joyau de douceur, une sorte de ballade qui nous traverse, nous habite et nous laisse glisser pendant plus de 4 minutes. La voix est « traînante », langoureuse, et c’est reposant. Mais au-delà, c’est un titre de très grande qualité musicale que nous offre ici Radiohead.

     Il y aussi Jigsaw falling into place, rythmé, prenant aussi, mais d’une autre manière. Ca bouge plus, et c’est pas mal de changer un petit peu.

     Je sais que j’en oublie encore, tels Weird Fishes / Arpeggi, et sa mélodie, All I Need, et son apothéose magnifique, Videotape

     Enfin bref. Chaque chanson a ses qualités, toutes ne conviendront pas forcément à tout le monde. Pour un album pas vraiment « rock » je suis surpris de voir comme il m’a convaincu. Certains titres, je pense, resteront dans le meilleur à retenir de Radiohead.

Liste des pistes :

  1. 15 Step
  2. Bodysnatchers
  3. Nude
  4. Weird Fishes/Arpeggi
  5. All I Need
  6. Faust Arp
  7. Reckoner
  8. House of Cards
  9. Jigsaw Falling into Place
  10. Videotape

Aout, riche en ciné !!!

Et oui le mois d’Aout s’annonce chargé, sur Lille outre les sorties Nationales,
Le Majestic et Le Métropole proposent
« Le Festival Patrimoine et Découvertes »
Un maximum de films, certain que je ne veux absolument pas louper !
Par ailleurs aout rimant avec farniente, je relâcherai un peu la pression sur les chroniques.
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Vu le 23/07 premier film de la série Patrimoine
Le Dernier Tango à Paris
de Bernardo Bertolucci
avec Marlon Brando (« Paul »), Maria Schneider (« Jeanne »), Jean-Pierre Léaud (« Tom »), Massimo Girotti (« Marcel »), Catherine Allégret (« Catherine ») Bernardo Bertolucci (Réalisation et Production), Agnès Varda (Dialogues)
Film franco-italien 1972


Synopsis
Paul (Marlon Brando) et Jeanne (Maria Schneider) : la rencontre d’un homme mûr, déchiré par le suicide atroce de sa femme, et d’une jeune fille au charme provocateur qui pourrait être sa fille. Dans un appartement vide, ils concluent un pacte: vivre une expérience sexuelle sans interdit, entièrement séparée du reste de la vie…
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Que dire de plus sur ce film, qu’il a en son temps soulevé une polémique, dépassée aujourd’hui ! Reste, et cela perdurera un film imposant, un Brando insolent de puissance alors que de temps à autre perce le drame et la douleur qui est la sienne . Sa rencontre, son oubli avec Maria Schneider, jeune femme dans l’air du temps de l’époque, insouciante, légére, irradiation des années pops. Sa longue silhouette, roulant sur le plancher de cet appartement telle la danseuse d’un ballet contemporain. Voila quelques images qui toujours me restent,..mais elles sont bien plus nombreuses tellement le cadrage, la lumière et les décors sont si artistiquement agencés et les personnages.mais je vais me repeter. Quand c’est si fort, si bon, si dur, et si cruel à la fois, ..jusqu’à cette fin…grandir, mourrir ..chacun trouve ce qu’il était plus ou moins consciemment venu chercher !
Arte.com « ..Maria Schneider sous la coupe d’un homme brisé, Marlon Brando mis à nu… Le film mythique de Bernardo Bertolucci… »
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01/08

Interview
de Steve Buscemi
Avec Sienna Miller, Steve Buscemi

Film américano-canadien

Lorsque le grand Pierre Peders est contraint par son rédacteur en chef d’interviewer Katya, une starlette de feuilleton américain, la rencontre s’annonce explosive.
Entre le spécialiste des conflits internationaux et la reine des ‘people’, le fossé semble infranchissable et pourtant peu à peu, le journaliste et la star se dévoilent et révèlent leurs blessures.
Au-delà de toutes leurs différences, une attirance vénéneuse naît entre les deux personnages et l’interview se transforme en une confrontation psychologique aussi passionnée qu’inattendue où chacun découvre l’intelligence et le potentiel de l’autre…
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Je ne redoute pas les films en huis clos, surtout que celui-ci est bien exploité. Il s’en dégage même un véritable suspense. Quel sera l’ampleur des révélations, qui de l’interviewé ou de l’éxécutant en laissera le plus transparaître…et.et..si comme dans le titre de je ne sais plus trop quelle série, la vérité était ailleurs ?
la technique employée, des caméras numériques captent l’endroit, un superbe loft aménagé dans un ancien batiment industriel et les multiples angles de prises de vues renforcent l’impression de mouvement.
Enfin nos deux acteurs irréprochables, dans leur ping-pong verbal et psychologique.

Excessif.Com « ..Pour son quatrième long métrage dont il est aussi scénariste, Steve Buscemi change encore radicalement de registre et ouvre une trilogie dont la vocation est de rendre hommage au défunt réalisateur hollandais Théo Van Gogh. Remake du film éponyme sorti en 2003 dans son pays d’origine, Interview met en scène avec virtuosité un duel psychologique finement écrit et brillamment interprété. Steve Buscemi plus imprévisible que jamais… »Quand à la fin, elle nous réserve une surprise . Voila un excellent moment
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Voila mercredi je vois Steve Buscemi, et je le retrouve aujourd’hui, certes briévement comme intervenant comme « interviewé » à propos de Joe Strummer ( ils ont tout eux participé au film Mystery Train de Jim Jarmusch )

02/08

Un documentaire de Julien Temple
Julien Temple filme le sang, la sueur et la fureur…avec son cœur.

En tant que leader du groupe punk The Clash à partir de 1977, Joe Strummer a profondément marqué l’existence de ses contemporains. Cinq ans après sa mort, cette influence perdure à travers le monde entier, plus forte aujourd’hui que jamais.
The Future is Unwritten de Julien Temple, est un portrait sans complaisance de Joe Strummer, qui est décrit non seulement comme musicien et légende du rock, mais aussi comme un véritable témoin de notre temps.
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deux heures, à suivre les traces de Joe Strummer, pas de tout repos ! Boulimique de vie, soif des autres ! Du fils d’attaché d’ambassade puis à l’apprentisage de la pension anglaise ( quelle soit anglaise ou française, rien de tel pour vous donner le dégout de l’autorité…je crois ! ) . Joe Strummer, néo-baba avant de cracher sur ce milieu et d’adhérer à la cause punk, cause car y a toujours une aspiration à une certaine forme de justice, d’idéal chez Joe, sa rencontre avec ses acolytes et la formation des Clash et le succès que l’on connait…
Tout cela c’est pour la petite histoire, au demeurant intéressante. mais l’important est ailleurs, dans les rapports que Joe a avec les autres, certes il est parfois tranchant n’hésitant pas à renvoyer tel ou tel musicos . mais l’artiste ne s’isole pas dans une tour d’ivoire, populaire jusqu’à la fin, le punk abandonné il revit dans la house et les raves et leur esprit communautaire une nouvelle aventure… Voila un reportage musical et humain à ne pas manquer, moi il m’a bien plut ! Et inutile de vous dire ce qui passe sur ma platine actuellement..vous l’aurez compris !

Site officiel, profitez, des images, du son !
Les Clash en vidéo, en live…come on !
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Voila samedi et lundi on poursuite avec deux films Japonais  » La femme des sables  » et  » Les plaisirs de la chair « , sur les tablettes aussi « London to brighton »…à suivre

Salle d’attente..!!!

Salle d’attente..oui celle de ce blog..qui ces derniers jours se traine un peu…
je dois laisser un rapide mot sur trois concerts vus cette semaine The Rapture, Sean Lennon et enfin mon prefere car bien plus rock’n’roll Gomm…..
Et aussi consacrer quelques pages à mes passions musicales du moment..
Bon promis cela viendra….mais je suis fortement rallenti par mon passage à Vista
et …bref patience..bientot je parlerai zique…si..si j’ai des trucs à dire..
en attendant je repasse les disques en boucle..bien m’en impregner…
so long !

Un Certain Regard : "Le Violon" de Francisco Vargas

LE VIOLON
Un film de Francisco Vargas ( Mexique )
Avec Don Angel Tavira, Dagoberto Gama, Gerardo Taracena, Mario
Garibaldi
Prix d’interprétation d’Un Certain Regard pour Don Angel Tavira – Cannes 2006


Cannes 2006
Un Certain Regard : « Le Violon » de Francisco Vargas
Présenté dans la section Un Certain Regard, Le Violon de Francisco Vargas concourt également pour la Caméra d’Or en tant que premier film. « J’ai toujours eu envie d’écrire un scénario sur la réalité occultée du Mexique, sur ceux que Luis Buñuel en 1950 appelait « Los Olvidados », raconte le réalisateur. Pour se faire entendre, ces voix oubliées vont jusqu’à recourir à la voie armée. A côté de nombreuses lectures sur les guérillas et les conflits en Amérique latine, « Les Aventures Incroyables d’un Violoncelle », un livre de Carlos Prieto, m’a inspiré. La force de ce musicien qui se rend chaque jour dans le camp adverse pour y jouer de son violoncelle confisqué, jusqu’à le récupérer des mains de ses ennemis, est restée gravée dans ma mémoire. Elle m’a rappelé toute cette littérature où la musique et la guerre entrent dans un jeu de dialogue dangereux. »

Résumé
Don Plutarco ( Don Angel Tavira ) et son fils Genaro ( Gerardo Taracena ) vivent une double vie. Fermiers et musiciens itinérants, ils font également partie de la guérilla qui tente de renverser le gouvernement. Un matin, les leaders de leur mouvement sont capturés par l’armée. Don Plutarco parvient à s’enfuir dans la montagne avec les femmes et les enfants tandis que le reste des rebelles organise la contre attaque. Mais un problème majeur reste à résoudre : la plupart des munitions est restée cachée dans le village encerclé par les soldats.
Grâce à son violon, Don Plutarco parviendra à se faire accepter du Capitaine ( Dagoberto Gama ) qui contrôle la ville pour récupérer les munitions enterrées dans ses champs. Il devra cependant faire un choix crucial entre son violon et ceux qu’il aime… entre la vie et la mort.
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Magnifique oeuvre sombre et terrible. Le choix du noir et blanc est judicieux, la lumière est faible dans la foret où trouve refuge  » Los Olvidados « , ces fermiers chassés de leur pauvre lopin de terre. Ici règne une terreur, les premières images du film sont d’ailleurs terribles, comme pour d’entrée nous signifier qu’ici la vie et la mort sont infiniment proches.
La lueur d’espoir, frêle luciole, c’est Don Plutarco, violoniste ambulant, qui pallie son infirmité ( il lui manque l’avant bras et jamais nous ne saurons d’où lui vient cet handicap, même au lieutenant qui l’interroge, Don Plutarco reste muet..) en nouant son archet à son moignon, qui la porte en lui. Il sait lui que des jours meilleurs, un jour viendront, en attendant il faut résister et se battre..chacun selon ses moyens



Don Plutarco utilisera son violon et sa musique tel un cheval de troie, la lutte sera inégale mais l’état d’esprit lui survivra..même apres ..quand son petit fils ranimera la musique alors qu’elle s’était temporairement tue.
Bon peut-être pas très clair mon propos, c’est un film sur une guerre, incarnée par l’opposition entre deux hommes..mais aussi marqué par la poésie qui l’accompagne, le noir et blanc, la musique, la noblesse et le courage de cet homme. Un Don Angel Tavira exceptionnel en la personne Don Plutarco…
Ha !! Si la musique pouvait balayer toutes les guerres, ici ce n’est pas le cas, ailleurs non plus hélas, à peine peut-être les adoucit-elle ?Qu’en pensez-vous ?
Excessif.Com « ..Une œuvre juste et vraie qui consacre aussi un acteur amateur de 82 ans, le violoniste Don Angel Tavira… »
Excessif.com -Interview du réalisateur Francisco Vargas-
Telerama.fr « ..C’est ce duel entre deux matois jouant aux benêts, essayant de se duper l’un l’autre – un affrontement digne d’un western épuré – qui est au cœur du premier film du Mexicain Francisco Vargas… »